L'ancien ministre de la défense sud-coréen fournit des témoignages importants : il n'a pas reçu d'instructions du président pour arrêter des personnalités politiques.
Le 23 janvier, heure locale, l'ancien ministre de la Défense sud-coréen, Kim Yong-ki, a déclaré lors du quatrième débat public sur l'audience du procès en destitution du président sud-coréen, Yoon Seok-yul, qu'il n'avait jamais reçu d'instructions du président pour arrêter des personnalités politiques. L'une des questions clés entourant le procès en destitution de Yoon Seok-yul et l'enquête sur le « crime de sédition » dans lequel il est impliqué est de savoir si Yoon Seok-yul a donné des instructions pour arrêter des personnalités politiques. Le témoignage de Kim Yong-ki, l'ancien ministre de la Défense sud-coréen, fourni le 23 janvier, sera une référence importante.
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L'ancien ministre de la défense sud-coréen fournit des témoignages importants : il n'a pas reçu d'instructions du président pour arrêter des personnalités politiques.
Le 23 janvier, heure locale, l'ancien ministre de la Défense sud-coréen, Kim Yong-ki, a déclaré lors du quatrième débat public sur l'audience du procès en destitution du président sud-coréen, Yoon Seok-yul, qu'il n'avait jamais reçu d'instructions du président pour arrêter des personnalités politiques. L'une des questions clés entourant le procès en destitution de Yoon Seok-yul et l'enquête sur le « crime de sédition » dans lequel il est impliqué est de savoir si Yoon Seok-yul a donné des instructions pour arrêter des personnalités politiques. Le témoignage de Kim Yong-ki, l'ancien ministre de la Défense sud-coréen, fourni le 23 janvier, sera une référence importante.